13 novembre 2015. Attentats de Paris. 130 victimes. L’effroi est à la hauteur de l’horreur de ces crimes. L’émoi est légitime mais les conséquences sont désastreuses sur le plan politique. Au lendemain de ces événements, le gouvernement « socialiste » s’empresse de modifier quasiment sans débat, la loi de 1955 sur l ‘état d’urgence en y introduisant des dispositions particulièrement inquiétantes tel le que la possibilité de « dissoudre des organisations » pour des raisons aussi vagues que « l ‘atteinte grave à l ‘ordre public ». Ces imprécisions en disent long sur les intentions des gouvernants. Continuer la lecture