Cette lettre a été relayée par plusieurs médias, nous la relayons à notre tour.
« Cher patron de Fakir (aussi patron de Merci Patron),
Pardonnez notre hardiesse, mais il est temps que nous parlions. On ne se connait pas mais nous avons eu maintes fois l’occasion de nous croiser lors de rassemblement sur Amiens. Permettez-nous donc de vous tutoyer, es-tu d’accord ? Continuer la lecture